Discworld

Y en a-t-il encore qui ne connaîtraient pas l'univers de Terry Pratchett et sa grosse vingtaine de volumes consacrés au Disque-Monde ? Que ceux-là aillent dare-dare consulter l'article que la Wikipédia lui consacre. Et que les autres passent à autre chose.
En 1994, Psygnosis édita cette génialissime adaptation dans laquelle vous incarnez Rincevent, un minable magicien archi nul flanqué de son inamovible bagage à pattes, fort utile au demeurant pour transporter tous les objets dont vous aurez besoin pour sauver Ankh-Morpork des manipulations d'une confrérie avide de pouvoir qui a réussi à maîtriser un dragon afin de fomenter ses forfaits. L'Université de l'Invisible, celle qui par mégarde vous a un jour donné votre diplôme de mage, vous a donc désigné pour mener à bien l'enquête : débrouillez-vous, maintenant !

Discworld se joue presqu'entièrement à la souris (clic pour les déplacement, double-clic pour interagir avec l'environnement, barre d'espace pour regarder/commenter un objet lors de son survol), et comme dans tous jeux de ce type, nécessite de nombreux allers et retours, des actions loufoques et beaucoup de perspicacité pour être mené à terme. C'est une excellent jeu pas très facile à terminer.

Question technique, le comportement de DiscWorld est particulièrement stable avec un 68k (testé sans aucun soucis sur un LC630), en revanche, avec un ppc, il en va tout autrement, parfois ça passe, parfois ça plante au lancement (écran noir) ou un peu plus loin. Il existe un patch (ici) que je vous recommande d'essayer si jamais vous jouez sous ppc et que ça plantouille (attention, vous devez remplacer l'appli installée par le patch et jeter les anciennes versions).